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Pour la beauté du geste, dans une cour intérieure je vis, et d’en haut je vois. C’est une jolie cour, pas la plus belle, pas la plus arrosée. Certains jours, des poubelles traînent une heure ou deux, mais elle a quelque chose de l’ordre de la majestuosité. Enfin, c’est ce que je vois certains matins.
Les jolis matins d’octobre.
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Quand j’étais un peu plus jeune, mon père-grand me traînait souvent à des réceptions. J’avais beau exprimer mes réticences, il disait que c’était bien pour me sociabiliser ( mes parents ont tellement peur que je devienne un être sauvage qu’ils se font une obssession de me rendre sociable. Alors que je le suis.
Pas avec tout le monde. Pas tout le temps.
Mais ça m’arrive)
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Je retrouve enfin le blog, je crois. Après presqu’un mois d’off line, j’avais cru que c’était bon, mais y avait des problèmes d’accès ici et là en Europe. Ensuite des merdouilles là et là-bas.
Et moi j’arrivais plus à dire quoi que ce soit sur la vie algéroise. A cause de la forme, du fond, des envies de grand air, des boutons sur la face.
Déjà, je voulais fuir un peu de chez mes parents. Maintenant que je suis seule avec eux, on a créé une drôle d’énergie. Toutes leurs remarques et leur amour se focalisent sur moi.