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Cette semaine, on a relu « La vie heureuse » de Nina Bouraoui, pour la troisième ou quatrième fois. Décidément, ce livre me poursuit.
J’avais 18 ans la première fois, et j’avais eu ce sentiment un peu débile et étrange, quand on est obsédé par un livre ou une chanson pendant qu’on traverse une période pas très cool, et qu’on s’entend dire ou penser « ce livre m’a sauvé la vie ».
Ca veut pas dire grand-chose, mais ça vient quand même. La force de son écriture, les thèmes et surtout les sous-thèmes qu’elle aborde me sont si proches, que c’est comme si j’avais rencontré un double. En mieux.

 

Cette semaine, on a aussi appris que des militaires algériens allaient participer au défilé du 14 juillet, sur les Champs-Elysées, pour commémorer les soldats algériens (français donc à l’époque) qu’ont dû combattre auprès des troupes françaises pendant la guerre de 14-18. Ce symbolisme historique a fait polémique. Ca m’a gêné un peu, et comme beaucoup de monde j’ai pas trop compris, vu que ce n’était pas l’armée algérienne à l’époque, mais bon, ça m’a non plus hérissé le poil.

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