J’étais en train de préparer un post qui serait une revue des blog, sites, pages et magazines algériens que j’aime ( c’est un petit jeu entre blogueurs, et j’ai envie que ce soit mon tour !), et je m’apprêtais à conclure avec une revue, à venir, qui me tient à cœur.
C’est le projet d’une amie que j’ai connu il y a bien longtemps, grâce à un projet littéraire justement.
Je voulais lancer un truc, on m’a présenté cette fille. Je crois qu’on s’est tout de suite aimées. On écrivait toutes les deux, on se lisait, à l’affût du moindre avis. Des fois, on faisait les trop gentilles même si c’était de la merde, et d’autres fois, on osait la méchante sincérité ( c’est horrible sur le coup, mais c’est mille fois mieux après).
On s’amusait à se lancer des challenges du style : je veux cinq pages de toi dans deux jours. On a relevé ce défi qu’une seule petite fois.
Alors que je renonce facilement (j’ai enterré mon projet au bout d’un an parce qu’il ne rencontrait pas le moindre succès, parce que j’avais pas le temps de m’y consacrer, parce qu’il y avait Dawson à la télé), mon amie, elle, s’acharne. Elle a eu l’idée d’une revue littéraire et plastique, Guentra, qui regrouperait textes, poèmes, illustrations d’auteurs inconnus au bataillon, et elle l’a porté comme son bébé, malgré la quasi-impossibilité de la chose.
Impossible est algérien !
Je ne comprenais pas d’ailleurs qu’elle s’y accroche autant, je lui disais que son truc marcherait pas, que c’était infaisable, qu’il valait mieux laisser tomber et se concentrer sur l’essentiel ( l’essentiel étant études/boulot conforme à ses études, l’ennui total en somme ! )
Ca fait des années maintenant qu’elle tente de concrétiser cette initiative, et elle tient. C’est tellement difficile le moindre projet littéraire en Algérie; on dirait que tout, chaque jour, pousse à l’abandon. Pourtant, y a jamais de résignation chez elle. Elle a formé une jolie équipe, elle emmerde, avec grâce, les repoussants ( dont moi), ne reste plus qu’à trouver ce putain d’argent.
On lui a dit que le papier ne se vendait pas ( surtout celui des inconnus), qu’il valait mieux mettre tout ça sur internet, ne serait-ce qu’en attendant.
Mais je suis d’accord avec elle pour dire qu’internet dénature un peu la chose, qu’il faut encore attendre, se bouger et espérer. Qu’il faut encore croire à ce qu’on ne trouve qu’au toucher.
J’espère qu’un jour on retrouvera la collection Guentra dans une librairie ( à Alger, les librairies c’est comme les bars, c’est peau de chagrin, comme si on avait peur que l’évasion des âmes soit une fuite).
J’espère qu’à Alger on retrouvera encore plein de gens qui arrivent à suivre leurs illusions.
Mamzelle Namous
p.s i love you : Plus d’infos sur l’aventure Guentra ici et là !
Liberta
le 6 juin 2012 à 11 h 18 minc’est malheureux mais vrai !!! meme si il ya des auteurs Algeriens qui vendent bien (khadra,adimi) on s’obstine a ne pas croire au talent made in algeria
L'amie
le 6 juin 2012 à 11 h 38 minMerci Mamzelle Namous, on s’aime avec nos défauts et les défauts de nos qualités aussi. On se perturbe, on se bouleverse mutuellement, c’est ce qui fait le charme de ce qui nous lie.
:)
Homo Erectus
le 6 juin 2012 à 13 h 18 minOn va voir si ce sujet va chercher dans les 100 commentaires.. Je vais me marrer..
Mina Namous
le 6 juin 2012 à 13 h 30 minje vais pleurer……!
justunidéenpassant
le 6 juin 2012 à 13 h 34 minTon amie a t-elle tentée sa chance auprès des ambassades francophones???
Homo Erectus
le 6 juin 2012 à 13 h 36 minPour revenir au sujet, ce type de revues ne marche plus tellement même dans des pays à la tradition littéraire bien établie.. Elles vivent de subventions et de mécénats, avec des tirages confidentiels.. En revanche, ce genre de publications à la durée éphémère est souvent une niche de nouveaux talents (comme les différentes revues dada du début du siècle, la NRF, etc.), très rares sont les revues qui n’implosent pas après quelques années (la NRF par exemple est une exception, mais elle est devenue un repère de vieux bourgeois graphomanes)… Très rares aussi celles qui remplissent leurs missions convenablement(faire découvrir de nouveaux talents)… Malgré tout bon courage…
Mina Namous
le 6 juin 2012 à 13 h 38 min@justunidéenpassant: je vais lui demander!
@ homo erectus : oui c’est vrai. Y a quelques années, y avait cette revue remix, qui réunissait auteurs connus et pas connus du tout. L’idée était que chaque personne remixait le le texte d’une autre, comme avec les chansons! c’était assez surprenant et souvent très bon!
lamnonyme
le 6 juin 2012 à 13 h 54 minje n’arrive pas à accéder au lien vers la page de TOnamie!!
Petite Plume d'Alger
le 6 juin 2012 à 13 h 56 minJe trouve que le projet de ton amie est très honorable , j’encourage pleinement son initiative ! Beaucoup de belles plumes sommeillent dans les abysses du silence et de la peur … Il faut les en retirer ! Il faut donner a l’écriture de chez nous du nouveau … et du jeune !
En esperant que mon blog t’ai plu . Prends bien soin de toi Mina !
A tes prochains articles :)
L.
le 6 juin 2012 à 14 h 51 min@Justenpassant, je n’ai pas très bien compris ce que tu entends par « Ton amie a-t-elle tenté sa chance auprès des ambassades francophones ? »
@Homo Erectus, finalement la formule a changé, ce sera une collection et non pas une revue. Mais cela ne change rien au principe, à savoir une sortie tous les 6 mois/1 an.
Il y a des publications du genre qui marchent sont pérennes, c’est le cas de la revue « Bordel » de Stéphane Million, qui a changé 3 fois de maison d’édition, mais qui continue avec la même énergie, et ce, depuis 2003.
Pour les liens, voici celui du blog : http://guentra.blogspot.com/
Celui du groupe FB : https://www.facebook.com/groups/101153222681/
IlfautIlfautIlfaut
le 6 juin 2012 à 15 h 01 minIl faut oui, mais comment?
Demander une subvention à Khalida Toumi-Messaoudi peut-être?
Taper aux portes des ambassades comme l’a suggéré l’autre? Cetaines ambassadrices s’ennuient à mourir dans notre beau pays et aideraient probablement volontiers cette noble cause.
Aux centres culturels? Aux éditeurs, algériens et étrangers?
Lancer un appel de fonds sur le Net? Des Algériens riches, ça existe; riches et cultivés un peu moins. Incultes et pauvres, beaucoup plus hélas.
Taper aux portes des mosquées : zakat tadamoun ou j’sais plus trop quoi… fi sabi lilarevue de ton amie…
Demander audience à Boutef, un de ses frères ou ses neveux?
Demander aux généraux-importateurs?
Aux beggars?
À NessElKheir?
Allez, j’y vais de ma petite contribution : faire le lien entre les artistes plasticiens, qui ont cruellement besoin de visibilité, et les autres. Voir du côté des nombreuses galeries qui ont ouvert leurs portes ces dernières années, p. ex. Ce n’est qu’une piste qu’il faut creuser et pour creuser, dans notre pays, on sait y faire, hamdoulilah!
Suggestion
le 6 juin 2012 à 15 h 19 minS’adresser à Yasmina Khadra, directeur du CCA à Paris, connu pour son engagement et sa volonté à diffuser la production littéraire algérienne. Un petit mèle, ça ne coûte rien :
http://www.cca-paris.com/index.php?option=com_contact&view=contact&id=1&Itemid=18
justunidéenpassant
le 6 juin 2012 à 16 h 57 minEt bein en voilà des idées à creuser… mais quand je parle d’ambassade(moi, l’autre…)je parle des services de coopérations culturelles dont c’est la vocation, et qui font des appels à projet et subventionnent…parfois…si ça colle… Les vielles ambassadrices qui s’ennuie, c’est un peu désuet Non? Maintenant on contractualise, on signe des projets, on fixe des objectifs quantifiables!
Mina Namous
le 6 juin 2012 à 17 h 00 minah moi je suis pour demander aux beggars! Financer guentra = le prix de leur plus petite voiture!
Fantôme d'Alger
le 6 juin 2012 à 17 h 59 minEn lisant, on se rend compte rapidement qu’il faudra écrire un jour. La littérature est trop féconde pour ne pas avoir d’enfant. Pour ma part, j’ai choisi de la larguer, ne plus lire, car l’écriture est un suicide en soi ; j’ai préféré plonger en mer à la noircir sur une page…
Yaw tabtab, trop fainéant, oui !
Bref, je considère toujours l’écriture comme un acte admirable. LAISSER SON EMPREINTE : quoi de plus éternellement réel pour une existence ! Les vaches dessinées par les Tassiliens, les pyramides, les équations : N+A=Love poinçonnées au compas sur les tables des écoles, les « Kaddour, 06/06/1971 » gravés dans les ciments des chantiers, toutes ces existences, tous ces mystères…
Je ne cesse donc d’encourager un ami à moi –mordu de la littérature et plume affûtée- à se lancer dans cette entreprise : « Bouloulou, t’es presque mort avec tes livres, achève-toi ! Ecris, au moins, pour l’amour de ton existence ! ». Lui : « Mais non, c’est vaniteux, et puis… l’humanité et l’éternité ne m’intéressent pas tant que ça…je voudrais vivre, moi aussi ! Voyager, plonger en mer, et surtout séduire des filles… ». « Bah, ça peut te servir à ça aussi, bouloulou, crée un blog, laisse ton empreinte, urine, ça aidera les femelles à te renifler !!! » Car, écrire peut aussi servir à ça. :D
L’amie à Namouss, je connais un imprimeur professionnel sur Alger, qui pourrait éditer ta revue pour des quantités inférieures à 10 000. Il te resterait qu’à trouver distributeur et acheteur.
Mauguin
le 6 juin 2012 à 18 h 34 minY a aussi la librairie-imprimerie mauguin à Blida qui pourrait peut-être lui donner un coup de pouce?
mimi
le 6 juin 2012 à 18 h 51 mincoucou Mlle Namous!!!!
Vous me direz si mon anlalyse est fausse , ou biaisée par mon humeur maussade , mais je trouve que cet article manque de vitalité .C’est plat, il n’attire pas notre avidité de lecteur et surtous je ne comprend pas la morale ou le but . Ce que vous nous décrivez ici n’est pas spécifique a l’Algérie mais est un concept universelle. Tous les projets , quelque soit leurs vocations artistiques , littéraires ou scientifiques ne donnent pas toujours naissance à quelque chose de concret .Aussi je ne retrouve pas votre plume satirique et légère . Ceci dit je vous l’accorde c’est vous l’écrivain et vous ètes libres de vos choix .
Bonne soirée.
Hihihihi
le 6 juin 2012 à 19 h 04 minBon courage Namous, y a des fois où jme dis que j’aurais pas ta patience!
BeauProjet
le 6 juin 2012 à 19 h 29 minSi ton amie veut survivre, elle doit absolument se trouver des commanditaires (musées, galeries, peintres, photographes, plasticiens, auteurs et autres acteurs du monde littéraire et culturel, ministère de la (sous)Culture, voire Air-Couscous en personne) qui la financeraient en contre-partie d’un espace de publicité sur sa revue. Ça devrait lui assurer un revenu récurrent et constant, à condition que ses clients soient financièrement solides. Sinon, je vois pas très bien comment elle assurera la pérennité de sa publication.
Bonne chance à tous les coups!
mina
le 6 juin 2012 à 19 h 36 minmerci à tous pour vos suggestions, l’équipe de guentra suit attentivement !
( ma préférée reste celle du beggar ;)
@ mimi : merci pour ton impression, qui ne peut pas être fausse!
Chatnoir
le 6 juin 2012 à 21 h 01 minBelle initiative, on suivra Guentra jusqu’à l’autre rive…
Sinon, l’idée du Beggar est à creuser mais elle requiert une bonne préparation. Contrairement à l’idée générale, un beggar, bien que dans la majorité des cas dépourvu de sensibilité littéraire, est souvent quelqu’un d’intelligent et a du flair en matière d’affaires. Il ne faut pas prendre un Beggar de l’intérieur du pays, ils sont coriaces, il faut choisir un bon Beggar arriviste parmi ceux qui rôdent à Sidi Yaya parce qu’on leur a dit que c’est là bas que ça se passait.
Il faut ensuite lui vendre le business plan suivant: Ouverture d’une pizzeria ou une sandwicherie branchée. Il faut ensuite lui expliquer que l’originalité du concept réside en deux points : 1) tout est fait maison, même le pain qui sort chaud des fourneaux et atterrit dans l’assiette du client. Même les oeufs de l’omelette frites sortent chauds des culs des poules élevées dans l’arrière boutique (tout ça est pipeau mais cela ne le choquera pas plus tard car le beggar est habitué au pipeau) 2) Un jornane lui aussi fait maison est fourni gracieusement sur chaque plateau.
Bien sûr, seul le jornane restera fait maison.
Mina Namous
le 6 juin 2012 à 21 h 04 minah chat noir, j’adore!
demain mission sidi yaya, à la recherche du beggar ( en plus c’est jeudi, c’est jour de sortie!)
Beuh
le 7 juin 2012 à 3 h 00 minSi vous ne trouvez pas d’éditeurs, je me demande si ça ne vaut pas le coup de creuser la piste de l’autoédition, avec un faible tirage, un support pauvre et esthétiquement valable, une distribution qui se ferait par les auteurs eux-mêmes dans des cafés, librairies… répondre à d’éventuelles commandes au cas par cas, etc.
Ça demande une mise au départ, mais elle peut-être modeste et collective.
Mais je me demande à quel niveau la législation agit, s’il y a des démarches administratives, des autorisations à avoir, s’il y a une loi qui interdit la distribution d’ouvrages sans ISBN même à petit tirage. (sans doute)
Une autre piste, démarcher des journaux (quotidiens, hebdomadaires, ou magazines) et proposer le projet sous forme de supplément mensuel (ou trimestriel ou autre…) sans pertes de droits sur les textes, en prenant garde à ce que la rédaction du supplément reste indépendante, etc.
Le problème est que les directeurs de rédaction, les responsables de ces journaux sont difficiles à saisir en général, mais il doit bien y avoir dans le tas quelques exceptions.
L'amie
le 7 juin 2012 à 8 h 08 minMerci à tous pour propositions, vos suggestions, vos réflexions…
Sachez cependant que le projet qui devait être au départ une revue publiée par une maison d’édition a finalement pris la forme d’une collection. Ce qui, cela va sans dire, nous convient absolument puisque cela permet de gagner un temps considérable sans rien changer au principe, ni à la fréquence des sorties.
La maison d’édition au sein de laquelle paraîtra le premier volet de « Guentra », intitulé « Raconte-moi ta liberté ! », est donc SENCHO édition.
Pour en savoir plus : http://guentra.blogspot.com/2012/06/ou-que-les-ponts-nous-menent.html
D’ailleurs, Mamzelle Namous avait mis à contribution son expertise — pour vous — lors du vernissage consacré à la sortie du premier volume d’« Esprit bavard », collection conçue et réalisée par SENCHO édition.
Pour la séquence nostalgie c’est par ici : http://jeuneviealgeroise.com/faut-il-vernir-lair/
L'amie
le 7 juin 2012 à 8 h 12 min@Fantôme d’Alger, tu es sûr que tu voulais dire inférieur à 10 000 et non pas à 1000 ?
J’aimerais bien avoir plus de précisions et éventuellement une carte de visite, sur comite.guentra@gmail.com
A tout bientôt !
Votre Nom
le 7 juin 2012 à 14 h 02 minréference vaseuse à bel-ami, l’arriviste macho et à son auteur le raciste. quand on veut écrire, il faut commencer par lire, ce qu’à l’évidence Mamzelle Namous tu n’as pas fait.
Mina Namous
le 7 juin 2012 à 16 h 25 min@ l’anonyme de la chine du nord : moi aussi je t’aime, peut-être qu’un jour tu me feras la lecture, veux tu?
un jour, j’ai appelé une des chroniques » la la la la la la », viens on chante ensemble!
Votre Nom
le 7 juin 2012 à 18 h 29 minc’est triste de voir une Mademoiselle qui se proclame esprit ouvert et libre tomber aussi bas dans l’insulte.
GG
le 7 juin 2012 à 18 h 48 minToujours quelqu’un pour venir plomber l’ambiance!
Dommage…
softy
le 7 juin 2012 à 19 h 26 minMina Namous depuis l’article sur comment séduire une algérienne j’attends toujours un conseil de ta part pour séduire cette jolie étudiante kabyle qui semble inaccessible
japoni16
le 7 juin 2012 à 20 h 25 minih c vraiment facile, il faut déposé un simple dossier a LANSEJ!!!!
Mina Namous
le 7 juin 2012 à 22 h 45 min@ softy : mazal? mais c’est la fin de l’année, fonce !
@ sofia : ;) je l’ai perdu avant de le finir…. mais j’avais aimé!
@ GG : c’est franchement lassant. Je ne comprends d’ailleurs pas que cette personne ne se lasse pas elle-même!
Homo Erectus
le 8 juin 2012 à 2 h 43 min« c’est triste de voir une Mademoiselle qui se proclame esprit ouvert et libre tomber aussi bas dans l’insulte. » mais non… La la la la means I love you..
L'amie
le 8 juin 2012 à 7 h 40 minUn énorme merci au Fantôme d’Alger pour la carte de visite !
Et à Homo Erectus pour cette mélodie apaisante :)
Votre Nom
le 8 juin 2012 à 7 h 42 minpiquée au vif la Mamzelle se revele insultante. se moquant de la maladie. c’est tout bonnement honteux.
« Des fois, on faisait les trop gentilles même si c’était de la merde, et d’autres fois, on osait la méchante sincérité ( c’est horrible sur le coup, mais c’est mille fois mieux après). »
et réciproquement?
Mina Namous
le 8 juin 2012 à 8 h 14 min@ homo erectus :je me souviens que sur la chronique » la la la la la » ( sur un air de claude françois!), tu m’avais dit, de façon très cool, que le billet méritait peut etre un mielleur titre ;)
@ l’amie (ça fait bizarre de t’appeler comme ça, ça me rappelle quelque chose, mais je sais plus quoi, un truc de nina bouraoui, non?) : c cool ça!
@ votre nom : »piquée au vif la Mamzelle se revele insultante. se moquant de la maladie », la maladie? va falloir que tu m’exliques!
pour la seconde partie de ton com, la réciprocité est déjà dans la phrase.
Homo Erectus
le 8 juin 2012 à 11 h 51 minSi tu avais appelé ta chronique « La la la la » (sur un air de Prince) j’aurais rien dit…
Lassar
le 8 juin 2012 à 11 h 52 minC’est une jolie et courageuse initiative que de publier un collectif d’auteurs, dessinateurs, photo… Il est vrai que c’est compliqué de manière générale, un peu partout, donc évidemment aussi, pour ne pas dire « surtout », en Algérie. Il faut persévérer, ne rien lâcher, boire du café, ses méninges épuiser, ses neurones malmener, et dans la lumière briller.
(je ne sais pas ce qu’il m’a pris, syndrome « digestion » sans doute).
En tout cas, je soutiens à fond et irai me promener sur le site de temps en temps.
Merci, Mina, d’avoir relayé l’info.
Mina Namous
le 8 juin 2012 à 15 h 29 minMerci Lassar, c’est joli ce que tu écris!
Votre Nom
le 10 juin 2012 à 10 h 12 minpuisque tu attend mon explication la voici.
entre GG le 7 juin 2012 à 18 h 48 min
Toujours quelqu’un pour venir plomber l’ambiance!
Dommage…
Et softy le 7 juin 2012 à 19 h 26 min
Mina Namous depuis l’article sur comment séduire une algérienne j’attends toujours un conseil de ta part pour séduire cette jolie étudiante kabyle qui semble inaccessible
il y avait Sofia le 7 juin 2012 à 18 h 57 min
ahahahahhh mina nemous tu m’a tué de rire avec ton » l’anonyme de la chine du nord » ! mais je crois qu’il a pas compris la référence vaseuse!
joli livre en tout cas :)
Sofia qui a bien compris la moquerie. tu as supprimé son commentaire mais pas la réponse que tu lui as faite. dommage comme il a dit lui ;)
Une blogueuse à Lyon
le 12 juin 2012 à 0 h 16 minC’est décidé, tu fais officiellement partie de ma blogoliste !
Mina Namous
le 13 juin 2012 à 16 h 30 minyeah!!!!
amel
le 16 juin 2012 à 18 h 55 minc’est les vacances?